1. C’est quoi le portage salarial ?

Il s’agit d’un système défini par l’ordonnance n° 2015-380 du 2 avril 2015. Le portage salarial est en quelque sorte une forme plutôt particulière de contrat de travail avec des clauses entre celles d’un statut d’un salarié ou d’indépendant et celles des professionnels. Le système a pour mission de mettre en relation trois parties, à savoir la société de portage salarial, le client ainsi que le travailleur porté. Ce client peut s’agir d’une association, d’une administration, d’une collectivité locale ou tout simplement d’une entreprise.

1. Le principe de fonctionnement

Le principe de fonctionnement du portage salarial est simple. En effet, il s’appuie sur la mise à disposition d’un indépendant ou d’un salarié pour un client. Ce travailleur est donc en relation directe avec l’entreprise porteuse qui assure le rôle d’intermédiaire et prend en charge toute la gestion administrative, à savoir les déclarations aux organismes publics et la fiche de paie. Ici, le salarié se voit comme étant un consultant ayant mis son expertise à la disposition du client. Ainsi, à l’issue d’un entretien, un contrat de travail peut s’établir entre l’entreprise de portage et l’employé porté. En ce qui concerne la relation entre le consultant et la société cliente, celle-ci est gérée par un contrat de prestation. Dans ce document, on peut retrouver les détails de la mission comme sa description, sa durée, son coût, ses méthodes de facturation et de paiement ainsi que les modalités de règlement en cas de litige.

3. Les revenus perçus par le travailleur porté

Le consultant ne reçoit pas des honoraires, mais un véritable salaire. En plus d’être indépendant dans ses actions au quotidien, celui-ci peut aussi bénéficier d’une couverture sociale. Pour avoir un peu une idée des avantages, notamment financiers d’un salarié porté par rapport au statut de microentreprise ou de freelance, rendez-vous au service en ligne de simulation de portage salarial pour calculer vos revenus facilement. Il faut vous signaler que les frais de gestion et les différentes charges sociales sont prélevés sur votre chiffre d’affaires prévisionnel.

Les avantages d’un métier technique

Les emplois techniques offrent une longue liste d’avantages que l’on ne peut pas négliger. On commence par le plus important, trouver un poste pour un métier technique n’est pas difficile, mais d’abord, il est obligatoire de passer par une formation technique. Le secteur technique est un domaine particulièrement varié, il existe de nombreuses fonctions de spécialisation. Avec un job technique, il est impossible de s’ennuyer. Il est possible de résister à toutes les situations stressantes, tous les jours sont différents. Les clients réservent toujours des surprises et des exigences à découvrir. Tout au cours de la vie, on peut suivre de nombreuses formations. Peut-être que la rémunération salariale n’est pas vraiment la motivation principale, mais les fonctions techniques sont accompagnées d’une jolie enveloppe salariale.

Les métiers techniques les plus à la demande

Le fonctionnement des activités et des projets est désormais lié à la technologie, quel que soit le domaine que vous voulez intégrer. Ils sont tous liés à la connaissance du monde numérique. Les métiers qui constituent des mécanismes de technologies de pointe sont le plus souvent demandés. À la recherche d’un maître d’ouvrage, l’architecte joue le rôle principal, l’architecte assure la conception de la réalisation des maisons et tous types d’infrastructures. Devenir un aérodynamicien est aussi une bonne option pour les personnes ayant une connaissance de la gestion budgétaire, il faut être un mathématicien dans l’âme. L’objectif pour l’aérodynamisme est d’aller plus vite en dépensant moins d’énergies. Le métier d’administrateur réseau est le plus avantageux, tous les domaines d’activités existants demandent les compétences d’un administrateur réseau. Il faut une bonne connaissance informatique, par exemple dans l’administration des bases de données, de système ou de messagerie. Après des années d’études, il est possible de devenir un ingénieur biologiste hospitalier, un ingénieur automatisme régulation ou un micro mécanicien.

Que savoir sur le métier de rédacteur freelance ?

De nos jours, il est possible de gagner de l’argent et même de vivre confortablement de ses revenus en tant que rédacteur indépendant. Il existe de très nombreuses entreprises françaises et étrangères qui recherchent des rédacteurs en freelance. Le fait est qu’elles ont régulièrement besoin d’articles, de textes ainsi que de contenus qui parlent de leurs offres, services et produits. C’est souvent par des mots bien choisis qu’elles se font connaître et gagnent en notoriété. Pour toutes ces raisons, elles sollicitent les services des rédacteurs en freelance.
Voici le principe du travail d’un tel rédacteur. Celui-ci peut rédiger des descriptifs de produits, rédiger des pages web ou gérer des newsletters. La mission peut également être la gestion de blogs. Dans tous les cas, les tâches principales consistent à rédiger du contenu, des articles et des newsletters, à créer des landing pages, etc. Pour exercer le métier de rédacteur, certaines compétences sont requises même si un diplôme n’est pas nécessairement exigé. Par exemple, il est indispensable de s’y connaître un minimum en rédaction, donc en grammaire, orthographe, structure de phrases, etc. Il est tout aussi important de maîtriser la langue dans laquelle vous allez écrire, le français, l’anglais, l’allemand, etc.

Comment trouver des missions de rédaction et gagner de l’argent ?

Si vous êtes déjà connu dans le milieu comme étant un rédacteur, il sera plus facile de trouver des missions. Vous pouvez approcher les entreprises ou les particuliers que vous connaissez et avec qui vous avez travaillé. Ils peuvent vous donner du travail ou vous diriger vers des entreprises qui ont besoin de vos services. Le bouche-à-oreille s’avère être un moyen efficace pour trouver des missions de rédaction. Il suffit qu’une personne ou une entreprise satisfaite de vos prestations parlent de vous autour d’elles. Ne négligez pas les méthodes classiques comme les annonces dans les journaux, locaux ou nationaux. L’avantage d’être rédacteur freelance, c’est qu’il vous faut juste un ordinateur et une connexion Internet. Peu importe où vous vous trouvez, vous pouvez travailler.
Laissez vos cartes de visite dans les commerces, les restaurants ou les magasins fréquentés par des cadres ou les chefs d’entreprise. L’idée, c’est de faire parler de vous, de vous faire connaître en tant que rédacteur freelance. Plus vous êtes visible, plus vous augmentez vos chances d’être contacté pour une mission. Puis, une mission en amène une autre et ainsi de suite. Évidemment, vos revenus vont dépendre du nombre de vos missions. Faites en sorte de ne jamais manquer de missions, répondez oui aux propositions qu’on vous fait. Votre réactivité, votre sérieux et votre professionnalisme vont très bientôt faire grand bruit dans le milieu. Du coup, vous aurez davantage de clients, donc, plus d’argent.

D’autres moyens de décrocher des missions de rédaction

Il y a un moyen efficace et plutôt rapide pour décrocher des missions de rédaction. C’est le fait de s’inscrire sur les plateformes de freelance. Cependant, comme il existe énormément de plateformes de travailleurs indépendants, concentrez-vous sur celles qui se spécialisent dans la rédaction. Mais parmi ces dernières, il faut encore faire le tri pour ne garder que les plus fiables. Autrement dit, allez seulement sur des sites qui existent vraiment. Retenez uniquement les sites où de vraies entreprises se rendent pour trouver des rédacteurs freelance comme vous.
C’est le cas de 5 euros, de Fiverr et de Freelancer, mais il en existe d’autres. Jetez un œil sur chaque plateforme freelance, car dessus il vous est possible de trouver diverses missions de rédaction. Puis, une fois sur la plateforme, prenez le temps de comparer les projets proposés. Ne retenez que ce que vous êtes sûr de réussir et de boucler dans le temps imparti. Et pour atteindre vos objectifs, il n’y a pas de secret : multipliez les plateformes et les missions.

Combien vous pouvez toucher en tant que rédacteur freelance ?

Cela vous intéresse certainement de savoir combien gagne un rédacteur web en freelance. Cela dépend surtout de votre expérience. Si cela fait de longues années que vous faites de la rédaction, vous pouvez facturer vos clients plus chers. Votre profil d’expert et votre description leur feront comprendre qu’ils font affaire avec un rédacteur chevronné qui sait ce qu’il fait.
Mais si vous êtes de niveau intermédiaire, si vous avez déjà fait de la rédaction, mais n’êtes pas encore très expérimenté ? Vous devez vous montrer raisonnable dans vos tarifs. Même si vous avez envie de gagner beaucoup d’argent, facturez moyennement vos services. Dites-vous bien que vous n’êtes pas perdant en agissant ainsi, au contraire. Vous affinez votre plume, vous vous améliorez. C’est toujours ça de gagné.
Maintenant, si vous êtes novice dans le métier de rédacteur indépendant, pratiquez des tarifs plutôt bas. Pour vous, il s’agit encore de vous familiariser avec le monde de l’écriture et de la rédaction. Ne pensez pas réaliser rapidement de grands profits de votre travail de rédacteur. Sinon, pour information, un rédacteur freelance facture environ 1500 caractères dans les 60 euros.

Gagnez de l’argent en étant rédacteur freelance

Pour être sûr de gagner de l’argent, prenez le temps de réfléchir au temps que vous allez passer sur chaque mission. Combien de temps de recherche vous faudra-t-il pour tel contenu ? Et combien de temps de rédaction proprement dite ? C’est à partir de ces données que vous allez effectuer un devis et fixer vos tarifs. Pour rappel, le tarif estimé est hors taxes, donc, n’oubliez pas de calculer vos charges. Puis, pour la rédaction d’un site web complet, c’est tout de même plus cher que d’écrire des articles de blog. Ensuite, rappelez-vous que si un client vous dit que tels textes sont urgents, cela signifie qu’il lui faudra payer un prix plus élevé. Enfin, il y a la technicité et la complexité du sujet qui peuvent influencer vos tarifs.
Mais si au départ, vous ne gagnez pas beaucoup d’argent grâce à votre travail de rédacteur freelance, soyez persévérant. Améliorez vos techniques, formez-vous au besoin, ne cessez de vous surpasser. Pour éviter la pression, restez équilibré, n’acceptez pas trop de missions à la fois. Organisez-vous bien, reposez-vous suffisamment et prenez soin de vous. Il est capital que vous restiez en bonne santé physique et intellectuelle. C’est la condition sine qua non pour accomplir vos missions. Si possible, préférez plusieurs petites missions, c’est plus rentable et plus facilement gérable. Imaginez toutes ces missions sur votre CV et votre profil LinkedIn ! Vous allez alors attirer encore plus de monde grâce à ces multiples expériences. Et vous gagnerez de l’argent régulièrement, vous pourriez peut-être même en vivre un jour.

Faut-il une formation en particulier?

Étant donné que même un lycéen peut exercer ce métier, il n’y a pas de formation officielle requise pour devenir baby-sitter. Cependant, pour mettre plus de chances de votre côté, il serait judicieux de suivre une formation de premier secours et de posséder un BAFA. Vous pourrez aussi suivre un stage dans un établissement qui se charge de jeunes enfants, ainsi, vous saurez comment vous en occuper au mieux. Ce sont des atouts qui mettront plus de poids dans votre dossier et qui vous qualifieront davantage. Dans la pratique, en quoi consiste le travail de baby-sitter?

Être un bon baby-sitter

Il vous faudra récupérer les enfants à l’école, leur donner le goûter et le déjeuner, leur faire prendre le bain et les aider à faire leurs devoirs. Être un bon baby-sitter requiert des qualités comme la patience, la gentillesse, l’attention et la maîtrise de soi envers les enfants. Vous devez également vous conduire de manière responsable. Vous serez peut-être amené à vous déplacer : certains parents décident d’emmener leur baby-sitter en vacances, pour toujours veiller sur leurs bambins. Cependant, ce métier est ponctuel. Si vous voulez faire une autre activité en parallèle, c’est possible. Mais vous devriez tout de même rester à la disposition des parents qui pourront faire appel à vos services de temps à autre.

Qu’est-ce qu’un apiculteur ?

Ce spécialiste élève des abeilles afin de récolter le miel, mais pas que. Il fabrique d’autres produits dérivés comme la cire, les bonbons au miel et l’hydromel. Pour récupérer le miel, il doit se vêtir d’une blouse et porter un masque sans oublier l’enfumoir. Ce dernier aide à enfumer la ruche. Pour la récolte, il enlève les cadres ainsi que les opercules de cire qui ont fermé les alvéoles à l’aide des couteaux spécifiques. Il les met dans une centrifugeuse qui tourne à une vitesse très élevée pour projeter le miel tout au long de la paroi. Celui-ci est à récupérer dans un maturateur qui à son tour nettoie les impuretés. Les petits morceaux de cire seront remontés à la surface.

Quelles sont les compétences requises ?

Pour réaliser toutes ces tâches, l’apiculteur doit maîtriser un savoir-faire et avoir des connaissances pointues. Cela dit, les méthodes adaptées dépendent de l’espèce et de la race des abeilles. Il faut également considérer le climat ainsi que la végétation de l’endroit où se trouvent les ruches. C’est d’ailleurs ce qui détermine la variété du miel. Souvent en plein air, l’apiculteur assure l’entretien des ruches. Il veille également à la santé de la reine. A l’intérieur, il se charge de la mise en pots et de l’entretien de son matériel surtout en hiver pendant le sommeil des abeilles. Il assure donc le conditionnement ainsi que la mise en vente de ses propres produits.

Quelle formation pour devenir apiculteur ?

L’apiculteur travaille seul ou avec l’aide de son équipe. Il doit avoir une excellente maîtrise de la qualité et des consignes sanitaires. En effet, les produits doivent respecter certaines règles d’hygiène et de sécurité avant la commercialisation. Le métier de l’apiculteur demande en effet de la minutie et un grand sens d’observation. Il peut être accessible sans diplôme. Il suffit de se former auprès d’un expert durant une année et le tour est joué. Cela dit, pensez à suivre une formation de responsable d’entreprise agricole avec option apiculture en vue d’obtention d’un BP REA.

Le métier de photographe est-il intéressant ?

Maintenant, pratiquement tout le monde et notamment les jeunes jouent au photographe amateur eux-mêmes et à force de se prendre en photo, deviennent plus ou moins experts en la matière. Mais le métier n’est pas complètement mort, heureusement. Il est possible de percer, même aujourd’hui, en travaillant un style particulier et en l’imposant. Il y a aussi la possibilité de s’orienter vers des marchés de niche. C’est ainsi que l’on voit de plus en plus de jeunes photographes qui se spécialisent dans différents domaines, par exemple les anciens procédés argentiques, les portraits animaliers etc. L’essentiel, c’est de se créer une expertise et la faire connaître à plus de personnes possible.

Les formations nécessaires

Quelles sont les formations requises pour accéder au statut de photographe ? En réalité, même les autodidactes qui font leurs preuves peuvent y arriver. Mais pour mieux appréhender les aspects théoriques et pratiques du métier, rien ne vaut une formation spécifique. Les bacheliers de la section S peuvent suivre des études menant au BTS photographie. Les élèves de 3e peuvent suivre des études pendant 3 ans pour obtenir le Bac Pro photographie. Après un Bac+2, il y a des formations possibles d’une durée de 3 ans dans les écoles nationales de photographie. A l’université également, les Masters pro Arts avec mention photographie sont proposés ainsi qu’une MST photographie et multimédias. On peut aussi trouver des écoles privées qui délivrent des diplômes en photographie.

Est-il possible d’évoluer professionnellement ?

Le fait est que trouver un emploi de photographe salarié fixe est aujourd’hui un défi pour les débutants. C’est la raison pour laquelle nombre d’entre eux se mettent à leur compte, réalisent un book bien étoffé en espérant un jour être remarqué et décrocher un emploi fixe dans une agence de communication ou dans un journal soit local soit national. Beaucoup travaillent en tant qu’assistant-photographe en attendant. Ceux qui ont suivi un cursus dans la vente peuvent intégrer un laboratoire photo et peut-être même avoir la chance d’en diriger un.

Le vrai métier de photographe

Être photographe, c’est être un artisan. Et comme tout artisan, un photographe doit être particulièrement inventif et avoir le sens de la création très vif et très développé. Afin de se démarquer, il doit aussi faire preuve d’une profonde sensibilité et rester à jour quant aux tendances du marché. Afin de pouvoir entretenir de bonnes relations avec sa clientèle et ses éventuels modèles, il doit aussi posséder un sens de la communication et d’excellentes capacités relationnelles et humaines. Il est en charge de la production de ses photos à partir de la prise de vue jusqu’au tirage.

Le métier de puéricultrice

Son rôle est préventif, éducationnel et elle endosse aussi le rôle de conseillère auprès des parents d’enfants dont on lui confie la charge. Elle peut exercer sa profession au sein de différentes structures. Elle peut travailler dans une maternité où elle collabore étroitement avec la ou les sage-femmes des lieux, ainsi qu’avec le pédiatre. Ses missions se rattachent en particulier aux soins donnés aux nouveaux-nés. En pédiatrie, elle s’occupe plutôt des enfants malades et joue l’interface entre la structure et la famille des enfants. Mais elle peut aussi exercer au sein d’un centre de PMI (Protection maternelle et infantile) et c’est là que son rôle prend l’aspect d’une prévention. Elle tient les familles informées de l’état de leurs enfants et c’est à elle qu’incombe la tâche de délivrer les agréments aux assistants maternels.

Des qualités incontournables pour devenir puéricultrice

Le métier de puéricultrice est exigeant et assez prenant. Aussi, il est réclamé à toutes les aspirantes puéricultrices de cultiver et de développer des qualités importantes telles qu’une grande patience, une attention soutenue et continue, une large disponibilité, essentielle lorsqu’on est en relation directe avec de très jeunes enfants en permanence, et un grand sens des responsabilités. Et par-dessus tout, une puéricultrice doit avoir un profond amour pour les enfants et capable de les comprendre. Puisqu’elle joue les intermédiaires entre le centre où elle travaille et les familles, elle doit aussi avoir un sens relationnel et social aigu, le sens de la communication et la diplomatie.

D’autres tâches pour une puéricultrice

Une puéricultrice participe souvent aux consultations dans le cas où elle exerce dans les centres spécialisés. Elle assure un suivi à domicile pour certains enfants qu’un hôpital ou un service de garderie lui auront confiés. Elle prévient les parents quant aux accidents domestiques et contre les risques d’obésité etc. Elle leur apprend les gestes à prodiguer à leur nouveau-né ou à leur enfant malade.

A propos des formations, diplômes et évolution

Pour les candidates au poste de puéricultrice, il leur faut entre 4 et 6 ans d’études pour préparer le DE d’infirmière qui, lui, dure 3 ans. Ou encore avant de pouvoir suivre des formations d’infirmière en 4 ans, après la PACES-première année commune aux études de santé. Ensuite, elles doivent passer le DE de puériculture qui se prépare en 1 an au sein des écoles agrées. Donc, après un Bac+ 3, elles peuvent obtenir le Diplôme d’État d’infirmière, après un Bac+4, un Diplôme d’État de puériculture, et après un Bac+5, un Diplôme d’État de sage-femme. Après 5 ans d’expérience probante, une puéricultrice peut devenir apte à tenir une crèche, une halte-garderie, et peut diriger une équipe d’auxiliaires en puériculture, d’éducateurs de jeunes enfants et d’aides-soignants.

Être prêt à étudier de longues années

En effet, pour espérer devenir un jour médecin généraliste, le cursus est long, ce qui réclame de la détermination et une très grande dose de patience. Après un Bac S, il faut au total 9 ans d’études avant de décrocher le diplôme d’État de Docteur en Médecine.

Les 3 cycles d’études

En fac de médecine, 3 cycles composent ce parcours : le premier est le PCEM qui se fait en 2 ans. Il faut s’inscrire en PACES après le Bac et on choisit le ou les concours que l’on souhaite passer. A la fin de la première année, on passe un concours très sélectif que l’on ne peut passer qu’une fois de plus en cas d’échec. La 2e année se passe en stage infirmier à l’hôpital pendant 4 semaines, ce qui amène au statut d’ « externe ». Le 2e cycle qui est le DCEM se déroule durant 4 ans qui seront faits de stage et gardes à l’hôpital et cours à la fac, centrés sur les différentes pathologies, la prévention et la thérapeutique. Vers la fin se prépare l’ECN ou Examen classant national, examen obligatoire pour tout futur médecin, généraliste comme spécialiste. Et enfin, le 3e cycle, de 3 ans, consistent en des stages rémunérés, élevant le rang des élèves en « internes ». Au terme d’une soutenance de thèse, le titre de Docteur en Médecine sera délivré.

Quel est véritablement le travail d’un Médecin ?

Son rôle principal est de détecter les pathologies de ses patients et sur la base de ses observations et analyses, leur prescrire des soins et des médicaments adaptés. Durant la consultation, il pose des questions précises au patient et note tous les symptômes évoqués ou constatés. Souvent, il est obligé de procéder à la palpation du patient soit à la main soit via des instruments tels que le tensiomètre. En fonction de ce qu’il aura diagnostiqué, il va peut-être réorienter le patient vers un spécialiste. Parfois, il est amené à suivre un patient sur une longue période, jusqu’à la rémission totale de celui-ci.

Qualités, débouchés, salaires et lieux d’exercice

Un Médecin doit se montrer en tout temps disponible, avoir le sens de l’écoute, posséder de l’empathie pour rassurer ses patients, et surtout, être consciencieux car c’est de la santé et même de la vie d’autres personnes dont il s’occupe, ce qui est une lourde responsabilité. Quant aux débouchés, ce n’est pas ce qui manque car en France, les médecins généralistes ne suffisent pas. Il est donc plutôt facile de se faire recruter, notamment avec une solide expérience, des connaissances médicales pointues. Un Médecin débutant touche autour de 2 200 euros bruts mensuels. Il peut ouvrir son propre cabinet ou travailler au sein d’une organisation humanitaire, d’un laboratoire, dans une école etc.